Le volume de consommation des biens ainsi que quelques résultats très utiles ont été dévoilés par l’HADOPI. Malgré cela, le streaming sort encore vainqueur car il est actuellement le plus user que le téléchargement.
Généralement, le streaming est devenu très important. Selon les résultats, il a atteint jusqu’à 84% en remédiant aux besoins des clients, par contraire le téléchargement n’est qu’à 49%.
En se penchant sur le compte rendu, la musique fait partie des biens culturels très usé par les consommateurs avec 23 titres en moyenne pour chaque internaute et cela, chaque semaine. Ces résultats indiquent donc que plus de 60000 morceaux sont achetés par les consommateurs dont la majorité est présenté par YouTube et Deezer. Il présente alors une moindre différence pour les feuilletons que pour les films. L’HADOPI énonce :
Le film consommé à partir de streaming est d’autant plus légal qu’illégal. Par contre, cette manière de consommer les films est illégale si on emploi les téléchargements. Plus de 28% des usagés résultent des téléchargements qui se représentent de manière deux par deux.
Trois revendications sont imposées par l’HADOPI pour la consommation.
– La musique porté sur youtube en streaming comme téléchargement est avant tout licite et majoritaire, y compris massive et gratuite.
– Les films et séries ainsi que les supports utilisés sont plus performants mais moins disparates selon la manière utilisée par les consommateurs. En les lançant vers la scène internationale, il est clair et net que le mode de consommation est illégal.
– Les livres et jeux vidéo recouvrent la manière différente, notamment pour les consommateurs plus strictes. Aussi, les œuvres françaises envahissent le monde des livres.
À en déduire, les offres se font à bas prix, ou même de manière mi-gratuite qui changent les comportements des consommateurs pour choisir le bon mode.
Une part considérable de la consommation se fait par exemple de manière gratuite pour la musique en streaming.
Est-ce le bon chemin ? L’HADOPI pourrait-il mettre en évidence cette affaire avant sa dissolution. En guise de conclusion, l’infographie y afférente est accessible ci-dessous. Le rapport se présente sous un format PDF pour les intéressés amateurs des chiffres.